War is overdue/The time has come for you/To shoot your leaders down/Join forces underground
Lose control/In increasing pace/Warped and bewitched/Time to erase/Whatever they say/These people are thorn/Wild and bereft/Assassin is born, yeah/(Aim, shoot, kill your leaders/Aim, shoot, kill them all)
Oppose and disagree/Destroy demonocracy
Lose control/In increasing pace/Warped and bewitched/Time to erase/Whatever they say/These people are thorn/Wild and bereft/Assassin is born, yeah (Go!)
Préparez vos oreilles 😀
Probablement le morceau de Muse le plus virulent envers nos dirigeants, dont les paroles sont néanmoins à placer dans un contexte particulier, de guerre qui n’en finit pas. Bellamy nous incite à prendre le contrôle de la violence, à inverser le monopole de cette dernière et à en faire subir les conséquences à nos leaders.
Et la situation actuelle dans les facs et les services publics, on peut, moi le premier, penser que nous sommes en situation de guerre, ou de conflit permanent. Guerre économique, qui voit périr celles et ceux qui n’auront pas su s’adapter aux changements de ces dernières années ayant affecté le monde. Conflit dans lequel il faut donc en permanence être apte à vaincre son concurrent car oui, la concurrence en est le maître mot. Ceux qui nous dirigent veulent faire de la solidarité une chimère, et que nous nous entretuions afin de remporter le marathon de la mondialisation.
Une réflexion au sujet de « “Friday song number eight” »